Non ce n'est pas moi qui fait fantasmer toutes les françaises, même si on dit que mes mains sont magiques . C'est Harry . Non pas Harry Potter . Mais Harry Roselmack qui outre sa plastique avantageuse doit avoir quelques autre recettes magiques vaudous pour faire tourner la tête de toutes les françaises . Et bien mesdames précipitez vous à Lubersac en Correze au club libertin " les fruits de la passion "   ou il sera présent pour tourner un nouveau numero de son emission " Harry Roselmack en immersion " Son magazine qui a reçu le laurier de l'information TV décerné par le club audiovisuel de Paris risque avec ce sujet de faire  le buzz  et de l'audimat auprés des téléspectatrices et de vulgariser l'échangisme et le libertinage en leur mettant le fruit de la passion entre les lèvres en chantant Francky Vincent " vas y Harry c'est bon... tiens voilà ton étalon ...." D'ailleurs en ce qui me concerne quand on me demande de beaux assistants blacks pour m'accompagner dans mes massages , on me definit souvent le profil idéal comme étant " style Harry Roselmack "

Harry Roselmack est membre du club Averroes pour l'intégration des minorités ethniques dans les médias et peut être se rendra t'il compte que les club libertins et le libertinage plus globalement  en faisant tomber le pantalon participent à l'intégration des minorités ethniques dans la société

Lorsqu’elles atteignent l’âge de puberté, les jeunes filles hemba s’initient elles-mêmes ou avec le concours de leurs aînées à la vie conjugale. Au nombre des pratiques initiatiques auxquelles elles s’adonnent figurent le « Mbuli-Malebo » ou la pratique d’aménagement des organes sexuels pour qu’ils prêtent à ses différents usages (accouplement, accouchement, …) dès le début du mariage. La pratique a lieu en brousse à l’ombre d’un arbre appelé « Mbuli ». Pour ne pas attirer l’attention d’autres personnes sur ce qu’elles font, les filles s’adonnent à ces exercices au moment où elles vont se promener ou encore lorsqu’elles vont puiser de l’eau à la source . Les filles reconnaissent avoir du plaisir dans cette pratique

Le peuple bahemba, vit entre le fleuve Lualaba et le Lac Tanganyika dans l’actuelle province du Katanga en République démocratique du Congo. Dans cette société, patrilocale, l’initiation de la jeune fille pubère tend à l’aider à reprendre à son compte l’image de la femme adulte, épouse et mère qu’elle voit précisément dans la personne de sa maman.

La pratique du « Mbuli-Malebo » réservée aux seules filles pubères qui se préparent au mariage a lieu en plusieurs séances. Cependant, même si le nombre des séances que la pubère doit suivre n’est pas formellement limité dans le temps, la femme muhemba ne peut pas se marier tant que les séances accomplies n’ont pas encore rendu ses organes génitaux prêts à débuter la vie conjugale comme pleinement une adulte, épouse et mère.

L’aménagement des organes sexuels auquel la jeune fille s’adonne se fait essentiellement en deux phases. La première s’appelle « chimbuli » et concerne l’étirement des petites lèvres afin de les allonger. Pour éviter le glissement des doigts au contact de la membrane muqueuse, les filles s’oignent les pouces et les index de la sève de l’arbre « Mbuli », à l’ombre duquel elles sont assises. L’opération consiste à masser les petites lèvres (malebo) en les étirant. Après chaque séance, elles attachent avec des nervures de feuilles de l’arbre « chifumbe » la partie qui a été allongée pour éviter qu’elle se rétracte de nouveau. Les filles pratiquent le « chimbuli » jusqu’à ce qu’elles soient satisfaites des dimensions de leurs « malebo ».

La deuxième phase de l’aménagement des organes génitaux concerne, c’est l’élargissement de l’entrée du vagin. L’objectif est de permettre à celui-ci d’être capable de recevoir n’importe quelle dimension de pénis. L’opération consiste donc à introduire progressivement dans le vagin un corps ayant quelque peu la forme du membre viril. L’exercice commence généralement par les formes de petites dimensions jusqu’à ce que le vagin soit capable de recevoir un corps de dimension virile normale.

Leur vagin étant plus flexible l'accouchement est facilité . 

Cette exercice pourrait être  importé en France pour réduire le trou de la sécurité sociale  en diminuant le nombre des épisiotomies et en diminuant le nombre de consultations de femmes qui vivent mal leur sexualité . Aprés tout nous occidentaux aprés avoir imposé nos valeurs judéo chrétiennes culpabilisantes on leur doit bien çà aux bahembas

Autres particularité érotique des femmes bahembas , les tatouages en reliefs qu'elles nomment ntaho  : des scarifications sur les seins , le pubis , les fesses. En passant ses mains l'homme excite la femme . La réalisation en étant douloureuses certains  les considèrent comme une pratique érotico-masochiste  ancestrale.

En marge de la mondialisation, les Himbas de Namibie ont jusqu’ici préservé  leur mode d’existence traditionnel. Leur économie et leur conception de l’univers sont basés sur le bétail. Les Himbas pratiquent la polygamie. Les hommes d’un certain âge, riches en bétail, prennent couramment plusieurs femmes. L’activité sexuelle est très précoce, les mariages sont arrangés et la plupart des femmes tombent enceintes très jeunes. Dés qu'elles ont  atteint l’âge nubile, sitôt après les premières règles elles sont incitées par leur entourage à coucher avec un homme

La majorité des femmes Himba ont plusieurs amants. Quand une femme mariée n’a pas d’amant, les autres femmes se moquent d’elle

Il n’est pas rare qu’un homme offre la compagnie d’une de ses épouses à un hôte de passage.

La peau rouge des femmes est du a une pâte faite d'un mélange de minerai d'hématite , de graisse et d'éléments aromatiques dont du piment rouge et de la myrrhe de Namibie très recherchées par les parfumeurs pour son parfum sensuel .Outre ses vertus protectrices cette pâte , véritable produit de beauté de la femme himba rends la peau très douce. Le collier de coquillage veut dire que la femme est mariée . La ceinture avec des perles de fer veut dire qu'elle a des enfants

Les missionnaires n'ont jamais réussit a convaincre les femmes himbas de couvrir leur poitrine

A l'époque d'URUK , premiére cité du monde actuel ont adorait INANNA , déesse de l'amour et de la guerre . Dans cette cité mythique du roi Gilgamesh il y avait un temple  ou toute les femmes qui n'étaient pas mariées devaient effectuer un service sexuel sacré obligatoire d'une certaine période . On pourrait dire à l'instar d'un service militaire pour les hommes puisque INNANA était aussi déesse de la guerre . L'EANNA , centre cultuel de la sexualité sacré comptait plus de 400 femmes en permanence  de différentes castes , dont certaines d'un très haut niveau intellectuel. On y pratiquait la magie sexuelle accompagné de chants . Au solstice de printemps , le nouvel an d'URUK était l'occasion de grandes fêtes sexuelles lourdes d'odeurs de cannelle , de myrrhe et d'aloès , avec des danses serpentines sur des musiques envoûtantes , telles les passes de mes massages dans le dos qui simulent les deux serpents d'Hermès qui partent des vertèbres sacrées pour remonter jusqu'à la nuque. INNANA avait des ailes je me suis toujours demandé si elle n'était pas la représentation d'une race supérieure , venue d'ailleurs que les hommes prirent pour des dieux à l'instar des conquistadores espagnols lorsqu'ils débarquèrent en Amérique du Sud . INNANA déesse annunaki , désertant son poste céleste pour venir ensemencer la terre en s'accouplant avec les humains . Rappelez vous les textes de la genèse  "  et les fils des dieux trouvèrent les femmes belles et s'accouplèrent avec elles " . Vous remarquerez que dans le dernier avatar INNANA , dans la religion catholique , Marie est ensemencée sans relation sexuelle

"Je me suis baignée pour le taureau sauvage
Je me suis baignée pour le berger Dumuzi
J'ai parfumé mon corps avec l'onguent
J'ai recouvert ma bouche de la douce ambre parfumée
J'ai peint mes yeux avec le kohl.

Il me tint les reins entre ses mains fermes
Le berger Dumuzi me remplit de crème et de lait
Il caressa mes poils pubiens
Il arrosa le bas de mon ventre
Il mit ses mains sur ma vulve sainte
Il caressa mon bateau noir avec sa crème
Il se pressa contre mon bateau étroit avec son lait
Il me caressa sur le lit.

Maintenant, je caresserai mon haut prêtre sur le lit
Je caresserai mon fidèle berger Dumuzi
Je caresserai son corps, bergerie de la terre
Je décréterai un doux destin pour lui."

Lorsque le seigneur, couché aux côtés de la sainte Inanna,
le berger Dumuzi,
Avec le lait et la crème lissant la cuisse,
Lorsque sur ma vulve ses mains il aura posées
Lorsque comme son bateau noir, il aura eu... cela,
Lorsque comme son bateau étroit, il aura apporté la vie à cela,
Lorsque sur le lit il m'aura caressée,
Alors je caresserai mon seigneur, et un doux destin je décréterai pour lui,
Je caresserai Shulgi, le fidèle berger,
Un doux destin je décréterai pour lui,
Je caresserai ses reins
Le berger de toutes les terres, je lui décréterai son destin.