Le nombre d'or ou section dorée, ou encore divine proportion, est un nombre qui correspond au partage le plus harmonieux d'une grandeur en deux parties inégales. La section d'or exprime l'harmonie lorsqu'elle est utilisée en architecture. Dans de nombreuses formes naturelles, végétales, animales, cosmiques ou encore humaines, on retrouve les proportions d'or. Ainsi, le corps humain et l'étoile de mer s'inscrivent dans un pentagramme (forme présentant cinq angles, en forme d'étoile (cf l'homme de Léonard de Vinci qui a servit de logo a Manpower), les co-quillages et les galaxies dans les spirales d'or.
Son nom : On le désigne par la lettre grecque ( phi ) en hommage au sculpteur grec Phidias qui décora le Parthénon à Athènes.
Le nombre d'or est se retrouve dans la grande pyramide de Gizeh, le rapport de l'altitude d'une face au demi côté de la base est presque exactement de 1,618. Le papyrus Rhind se réfère à un rapport sacré. L'École de pensée du mathématicien grec Pythagore dit aussi que " tout est arrangé selon le nombre ". cf mon hommage à Pythagore
Il est symbole de santé, en grec:
U G I Q A
dont les
lettres servaient à nommer les sommets
Exposé dans " Éléments de géométrie " d'Euclide et
repris par le moine franciscain italien
Fra Luca Pacioli, dans
" Dedivina proportione "
en 1509, illustré par
Léonard de Vinci.
La proportion divine ou dorée est symbolisée
par le dodécaèdre, synthèse géométrique de
cetterelation. Le dodécaèdre rassemble 12
pentagones.
Léonard de Vinci réfléchit aux proportions
idéales du corps humain, basées sur le nombre
d'or qu'il désigne par " sectio aurea "
..
La suite de FIBONACCI est une série additive à 2 tps:
1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34, 55,89.... telle que chaque
terme soit égal à la somme des 2 précédents Cette
suite qui porte le nom du mathematicien italien qui
l'a redécouvert présente une particularité étonnante :
le rapport de deux nombres successifs tend très
rapidement vers le nombre d'or. La suite de Fibonacci
a été l'une des premières énigmes utilisée dans le jeu
de piste du livre de Dan Brown, mais avant on
retrouve cette suite sous le nom maatraameru
(montagne de cadence)
dans le travail du grammairien de sanskrit Pingala, le
Chhandah-shastra, (l'art de la Prosodie),
. Le philosophe Indien HEMACHANDRA (et aussi
GOPALA )
ont revisité le problème de manière assez détaille. En Sanskrit
en effet, Les voyelles peuvent être longues (L) ou courtes (C)
, et Hemachandra a souhaité calculer combien on peut former
de cadences différentes d'une longueur donnée, chaque
cadence étant définie par les longueurs des voyelles qui la
constituent. Si la voyelle longue est deux fois plus longue que
la courte, les solutions sont, en fonction de la longueur totale
de la cadence
Pour ma part j'ai l'intime conviction que la courbe
d'ascencion du plaisir est une suite de FIBONACCI qui
se brise à cause de la peur d'aller trop loin ou par la
mentalisation de ses propres limites .Mais dans nos
perceptions il nous parait impossible que la montagne
de plaisir ne puisse pas avoir de sommet
Pourtant c'est vraisemblablement le cas , mais le
corps ne pourrait supporter ce que seul l'esprit serait
capable de faire
Je rêve d'inventer un systeme de massage qui intégre
le nombre d'or et la suite de Fibonacci .Une fois il m'a
sembler y arriver en m'aidant de chants et de
mantras d'un moine tibétain et de leurs
resonnances...
Si quelqu'un à l'idée géniale ou une culture des
pouvoirs oubliés des résonnances , alors je me
mettrai humblement a genoux devant cette
personne .
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