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Mardi 28 octobre 2 28 /10 /Oct 13:46
Oui, ton fauve univers est le forçat de Dieu.
Les constellations, sombres lettres de feu,
Sont les marques du bagne à l'épaule du monde.
Dans votre région tant d'épouvante abonde,
Que, pour l'homme, marqué lui-même du fer chaud,
Quand il lève les yeux vers les astres, là-haut,
Le cancer resplendit, le scorpion flamboie,
Et dans l'immensité le chien sinistre aboie!
Ces soleils inconnus se groupent sur son front
Comme l'effroi, le deuil, la menace et l'affront;
De toutes parts s'étend l'ombre incommensurable;
En bas l'obscur, l'impur, le mauvais, l'exécrable,
Le pire, tas hideux, fourmillent; tout au fond,
Ils échangent entre eux dans l'ombre ce qu'ils font;
Typhon donne l'horreur, Satan donne le crime;
Lugubre intimité du mal et de l'abîme!
Amours de l'âme monstre et du monstre univers!
Baiser triste! et l'informe engendré du pervers,
La matière, le bloc, la fange, la géhenne,
L'écume, le chaos, l'hiver, nés de la haine,
Les faces de beauté qu'habitent des démons,
Tous les êtres maudits, mêlés aux vils limons,
Pris par la plante fauve et la bête féroce,
Le grincement de dents, la peur, le rire atroce,
L'orgueil, que l'infini courbe sous son niveau,
Rampent, noirs prisonniers, dans la nuit, noir caveau.
La porte, affreuse et faite avec de l'ombre, est lourde;
Par moments, on entend, dans la profondeur sourde,
Les efforts que les monts, les flots, les ouragans,
Les volcans, les forêts, les animaux brigands,
Et tous les monstres font pour soulever le pêne;
Et sur cet amas d'ombre, et de crime, et de peine,
Ce grand ciel formidable est le scellé de Dieu.

Voilà pourquoi, songeur dont la mort est le voeu,
Tant d'angoisse est empreinte au front des cénobites!

Je viens de te montrer le gouffre. Tu l'habites.

                       *

Les mondes, dans la nuit que vous nommez l'azur,
Par les brèches que fait la mort blême à leur mur,
Se jettent en fuyant l'un à l'autre des âmes.

Dans votre globe où sont tant de geôles infâmes,
Vous avez de méchants de tous les univers,
Condamnés qui, venus des cieux les plus divers,
Rêvent dans vos rochers, ou dans vos arbres ploient;
Tellement stupéfaits de ce monde qu'ils voient,
Qu'eussent-ils la parole, ils ne pourraient parler.
On en sent quelques-uns frissonner et trembler.
De là les songes vains du bronze et de l'augure.

Donc, représente-toi cette sombre figure:
Ce gouffre, c'est l'égout du mal universel.
Ici vient aboutir de tous les points du ciel
La chute des punis, ténébreuse traînée.
Dans cette profondeur, morne, âpre, infortunée,
De chaque globe il tombe un flot vertigineux
D'âmes, d'esprits malsains et d'être vénéneux,
Flot que l'éternité voit sans fin se répandre.
Chaque étoile au front d'or qui brille, laisse pendre
Sa chevelure d'ombre en ce puits effrayant.
Ame immortelle, vois, et frémis en voyant:
Voilà le précipice exécrable où tu sombres.

                      *

Oh! qui que vous soyez, qui passez dans ces ombres,
Versez votre pitié sur ces douleurs sans fond!
Dans ce gouffre, où l'abîme en l'abîme se fond,
Se tordent les forfaits, transformés en supplices,
L'effroi, le deuil, le mal, les ténèbres complices,
Les pleurs sous la toison, le soupir expiré
Dans la fleur, et le cri dans la pierre muré!
Oh! qui que vous soyez, pleurez sur ces misères!
Pour Dieu seul, qui sait tout, elles sont nécessaires;
Mais vous pouvez pleurer sur l'énorme cachot
Sans déranger le sombre équilibre d'en haut!
Hélas! hélas! hélas! tout est vivant! tout pense!
La mémoire est la peine, étant la récompense.

Oh! comme ici l'on souffre et comme on se souvient!
Torture de l'esprit que la matière tient!
La brute et le granit, quel chevalet pour l'âme!
Ce mulet fut sultan, ce cloporte était femme.
L'arbre est un exilé, la roche est un proscrit.
Est-ce que, quelque part, par hasard, quelqu'un rit
Quand ces réalités sont là, remplissant l'ombre?
La ruine, la mort, l'ossement, le décombre,
Sont vivants. Un remords songe dans un débris.
Pour l'oeil profond qui voit, les antres sont des cris.
Hélas! le cygne est noir, le lys songe à ses crimes;
La perle est nuit; la neige est la fange des cimes;
Le même gouffre, horrible et fauve, et sans abri,
S'ouvre dans la chouette et dans le colibri;
La mouche, âme, s'envole et se brûle à la flamme;
Et la flamme, esprit, brûle avec angoisse une âme;
L'horreur fait frissonner les plumes de l'oiseau;
Tout est douleur.


Les fleurs souffrent sous le ciseau
Et se ferment ainsi que des paupière closes:
Toutes les femmes sont teintes du sang des roses;
La vierge au bal, qui danse, ange aux fraîches couleurs,
Et qui porte en sa main une touffe de fleurs,
Respire en soupirant un bouquet d'agonies.
Pleurez sur les laideurs et les ignominies,
Pleurez sur l'araignée immonde, sur le ver,
Sur la limace au dos mouillé comme l'hiver,
Sur le vil puceron qu'on voit aux feuilles pendre,
Sur le crabe hideux, sur l'affreux scolopendre,
Sur l'effrayant crapaud, pauvre monstre aux doux yeux,
Qui regarde toujours le ciel mystérieux!
Plaignez l'oiseau de crime et la bête de proie.
Ce que Domitien, César, fit avec joie,
Tigre, il le continue avec horreur. Verrès,
Qui fut loup sous la pourpre, est loup dans les forêts;
Il descend, réveillé, l'autre côté du rêve:
Son rire, au fond des bois, en hurlement s'achève;
Pleurez sur ce qui hurle et pleurez sur Verrès.
Sur ces tombeaux vivants, masqués d'obscurs arrêts,
Penchez-vous attendri! versez votre prière!
La pitié fait sortir des rayons de la pierre.
Plaignez le louveteau, plaignez le lionceau.
La matière, affreux bloc, n'est que le lourd monceau
Des effets monstrueux, sortis des sombres causes.
Ayez pitié! voyez des âmes dans les choses.
Hélas! le cabanon subit aussi l'écrou;
Plaignez le prisonnier, mais plaignez le verrou;
Plaignez la chaîne au fond des bagnes insalubres;
La hache et le billot sont deux êtres lugubres;
La hache souffre autant que le corps, le billot
Souffre autant que la tête; ô mystères d'en haut!
Ils se livrent une âpre et hideuse bataille;
Il ébrèche la hache et la hache l'entaille;
Ils se disent tout bas l'un à l'autre: Assassin!
Et la hache maudit les hommes, sombre essaim,
Quand, le soir, sur le dos du bourreau, son ministre,
Elle revient dans l'ombre, et luit, miroir sinistre,
Ruisselante de sang et reflétant les cieux;
Et, la nuit, dans l'état morne et silencieux,
Le cadavre au cou rouge, effrayant, glacé, blême,
Seul, sait ce que lui dit le billot, tronc lui-même.
Oh! que la terre est froide et que les rocs sont durs!
Quelle muette horreur dans les halliers obscurs!
Les pleurs noirs de la nuit sur la colombe blanche
Tombent; le vent met nue et torture la branche;
Quel monologue affreux dans l'arbre aux rameaux verts!
Quel frisson dans l'herbe! Oh! quels yeux fixes ouverts
Dans les cailloux profonds, oubliettes des âmes!
C'est une âme que l'eau scie en ses froides lames;
C'est une âme que fait ruisseler le pressoir.
Ténèbres! l'univers est hagard. Chaque soir,
Le noir horizon monte et la nuit noire tombe;
Tous deux, à l'occident, d'un mouvement de tombe;
Ils vont se rapprochant, et, dans le firmament,
O terreur! sur le joug, écrasé lentement,
La tenaille de l'ombre effroyable se ferme.
Oh! les berceaux font peur. Un bagne est dans un germe.
Ayez pitié, vous tous et qui que vous soyez!
Les hideux châtiments, l'un sur l'autre broyés,
Roulent, submergeant tout, excepté les mémoires.


Parfois on voit passer dans ces profondeurs noires
Comme un rayon lointain de l'éternel amour;
Alors, l'hyène Atrée et le chacal Timour,
Et l'épine Caïphe et le roseau Pilate,
Le volcan Alaric à la gueule écarlate,
L'ours Henri Huit, pour qui Morus en vain pria,
Le sanglier Selim et le porc Borgia,
Poussent des cris vers l'Être adorable; et les bêtes
Qui portèrent jadis des mitres sur leurs têtes,
Les grains de sable rois, les brins d'herbe empereurs,
Tous les hideux orgueils et toutes les fureurs,
Se brisent; la douceur saisit le plus farouche;
Le chat lèche l'oiseau, l'oiseau baise la mouche;
Le vautour dit dans l'ombre au passereau: Pardon!
Une caresse sort du houx et du chardon;
Tous les rugissements se fondent en prières;
On entend s'accuser de leurs forfaits les pierres;
Tous ces sombres cachots qu'on appelle les fleurs
Tressaillent; le rocher se met à fondre en pleurs.
Des bras se lèvent hors de la tombe dormante;
Le vent gémit, la nuit se plaint, l'eau se lamente,
Et sous l'oeil attendri qui regarde d'en haut,
Tout l'abîme n'est plus qu'un immense sanglot.

                       *

Espérez! espérez! espérez, misérables!
Pas de deuil infini, pas de maux incurables,
Pas d'enfer éternel!
Les douleurs vont à Dieu, comme la flèche aux cibles;
Les bonnes actions sont les gonds invisibles
De la porte du ciel.

Le deuil est la vertu, le remords est le pôle
Des monstres garrottés dont le gouffre est la geôle;
Quand, devant Jéhovah,
Un vivant reste pur dans les ombres charnelles,
La mort, ange attendri, rapporte ses deux ailes
A l'homme qui s'en va

Les enfers se refont édens; c'est là leur tâche.
Tout globe est un oiseau que le mal tient et lâche.
Vivants, je vous le dis,
Les vertus, parmi vous, font ce labeur auguste
D'augmenter sur vos fronts le ciel; quiconque est juste
Travaille au paradis.

L'heure approche. Espérez. Rallumez l'âme éteinte!
Aimez-vous! aimez-vous, car c'est la chaleur sainte,
C'est le feu du vrai jour.
Le sombre univers, froid, glacé, pesant, réclame
La sublimation de l'être par la flamme,
De l'homme par l'amour!

Déjà, dans l'océan d'ombre que Dieu domine,
L'archipel ténébreux des bagnes s'illumine;
Dieu, c'est le grand aimant;
Et les globes, ouvrant leur sinistre prunelle,
Vers les immensités de l'aurore éternelle
Se tournent lentement!

Oh! comme vont chanter toutes les harmonies,
Comme rayonneront dans les sphères bénies
Les faces de clarté,
Comme les firmaments se fondront en délires,
Comme tressailleront toutes les grandes lyres
De la sérénité,

Quand, du monstre matière ouvrant toutes les serres,
Faisant évanouir en splendeurs les misères,
Changeant l'absinthe en miel,
Inondant de beauté la nuit diminuée,
Ainsi que le soleil tire à lui la nuée
Et l'emplit d'arcs-en-ciel,

Dieu, de son regard fixe attirant les ténèbres,
Voyant vers lui, du fond des cloaques funèbres
Où le mal le pria,
Monter l'énormité, bégayant des louanges,
Fera rentrer, parmi les univers archanges,
L'univers paria!

On verra palpiter les fanges éclairées,
Et briller les laideurs les plus désespérées
Au faîte le plus haut,
L'araignée éclatante au seuil des bleus pilastres,
Luire, et se redresser, portant des épis d'astres,
La paille du cachot!

La clarté montera dans tout comme une sève;
On verra rayonner au front du boeuf qui rêve
Le céleste croissant;
Le charnier chantera dans l'horreur qui l'encombre,
Et sur tous les fumiers apparaîtra dans l'ombre
Un Job resplendissant!

O disparition de l'antique anathème!
La profondeur disant à la hauteur: Je t'aime!
O retour du banni!
Quel éblouissement au fond des cieux sublimes!
Quel surcroît de clarté que l'ombre des abîmes
S'écriant: Sois béni!

On verra le troupeau des hydres formidables
Sortir, monter du fond des brumes insondables
Et se transfigurer;
Des étoiles éclore aux trous noirs de leurs crânes,
Dieu juste! et, par degrés devenant diaphanes,
Les monstres s'azurer!

Ils viendront, sans pouvoir ni parler ni répondre,
Éperdus! on verra des auréoles fondre
Les cornes de leur front;
Ils tiendront dans leur griffe, au milieu des cieux calmes,
Des rayons frissonnants semblables à des palmes;
Les gueules baiseront!

Ils viendront! ils viendront, tremblants, brisés d'extase,
Chacun d'eux débordant de sanglots comme un vase
Mais pourtant sans effroi;
On leur tendra les bras de la haute demeure,
Et Jésus, se penchant sur Bélial qui pleure,
Lui dira: C'est donc toi!

Et vers Dieu par la main il conduira ce frère!
Et, quand ils seront près des degrés de lumière
Par nous seuls aperçus,
Tous deux seront si beaux, que Dieu dont l'oeil flamboie
Ne pourra distinguer, père ébloui de joie,
Bélial de Jésus!

Tout sera dit. Le mal expirera, les larmes
Tariront; plus de fers, plus de deuils, plus d'alarmes;
L'affreux gouffre inclément
Cessera d'être sourd, et bégaiera: Qu'entends-je?
Les douleurs finiront dans toute l'ombre: un ange
Criera: Commencement!

Victor Hugo




 

Moment toujours difficile quand un proche nous quitte. Pierre est actuellement auprès de sa famille pour le déces de son frère et me demande de publier ce poême de Victor Hugo qu'il aime bien.

Vous comprendrez aussi qu'il ne sera pas disponible actuellement pour vos demandes de massage et vous demande donc de limiter les appels sur son portable... (très nombreux actuellement).

Ce poême est très long je suis donc obligée de le mettre sur plusieurs pages, mais lisez le jusqu'au bout, il est magnifique.

Charnelle.

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Publié dans : masseursensuel - Voir les 4 commentaires
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Commentaires

Tendres pensées à toi cher Pierre....nous savons que  la "mort" fait partie de la "vie".......mais difficile à accepter de perdre un être cher.
commentaire n° :1 posté par : OD le: 01/11/2008 à 11h17
toute ma simpathie dans ce moment difficile.
Amitiés.
Ichi.
commentaire n° :2 posté par : Ichi le: 30/10/2008 à 19h52

Nous sommes navrés par cette nouvelle, aussi nous adressons a pierre ,ainsi qu a tous ceux qui lui sont chers nos plus sincères condoléances et pensons bien a vous en ces moment difficiles.

Merci Princesse pour ce poème.

J. - G.

commentaire n° :3 posté par : J. - G. le: 29/10/2008 à 10h07
nous sommes navrés de cette nouvelle ,aussi nous adressons a pierre ,ainsi qu a tous ceux qui lui sont chers  nos plus sinceres condoleances et pensont a toi en ces moment difficiles 
commentaire n° :4 posté par : martine et thiery le: 28/10/2008 à 14h23
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