Fleur en fiole d'or ou Jing ping Mei est un roman datant la dynastie Ming que je considère avec le Jeou-P'ou-T'ouanLa chair comme tapis de prière  ( déjà cité dans ce blog ), comme un des deux pilliers de la littérature érotique chinoise ancienne

Fleur de fiole d'or est en effet l'un des plus célèbre écrit du genre. Oeuvre de  Li Kaixan(1501-1568), ce très gros roman de moeurs décrit les pratiques libertines de Ximen Qing , un riche marchand qui passe son temps à concquérir les jolies filles avec l'accord de son épouse.

Dans ce livre d'un érotisme torride, les amants n'hésitent pas à jouer avec des fruits, à s'asperger mutuellement de vin, à jouer aux cartes d'un jeu aux formules paillardes et aux figures lascives.

Ils feuillettent également un album érotique composé de ving-quatre peintures sur soie représentant des couples faisant l'amour dans des positions qu'ils s'éfforcent de copier.

En principe le massage sensuel permet de lacher prise et d'évoluer plus facilement vers d'autres pratiques, vers d'autres sensations... Le massage sensuel intervient alors comme préambule . Et bien hier soir Maitre Claude nous a présenté sa soumise en me disant qu'il me l'amenerait ultérieurement pour un massage sensuel . Voici comment elle nous a été présentée pour une soirée de jeu . Le massage ce sera pour une autre fois...

«L'homme lesbien. Deux termes qui paraissent contradictoires. Jean Markale nous démontre qu'ils ne le sont pas. L'auteur de multiples ouvrages sur la quête du Graal et La Femme celte reprend ici son investigation des liens qui unissent l'homme et la femme. Il remonte aux origines de la civilisation et fait l'histoire de cette «déviance» pour nous signifier qu'elle n'en est pas une, évoquant des lesbiens fameux comme Abélard et l'abbé de Choisy ainsi que des hommes qu'on ne s'attendait pas à voir révéler sous ce jour, tels Wagner et son héros Parsifal, Éluard, Dali, D.H. Lawrence, J. Cowper Powys ; ou des hommes qui furent lesbiens avec certaines femmes seulement, tels Rousseau et Baudelaire. L'auteur évoque encore l'amour courtois : la fine amor des troubadours, ainsi que les «saphiens» de Charles Fourier.

Mais qu'est-ce que l'homme lesbien ?

«On ne naît pas lesbien, on le devient», écrit Jean Markale. Il analyse alors le comportement et les motivations d'un homme qui n'est ni homosexuel, ni transsexuel, ni androgyne et qui est le contraire du machiste, du sexiste, du sadique. L'homme lesbien porte en lui une douceur qui le rend extrêmement sensible aux qualités de la femme. Sa relation à la femme exclut la domination et la jalousie ; elle se fonde sur la fraternité plus que sur la complémentarité. C'est un homme tribade, c'est-dire frotteur, caresseur : il se frotte à la femme, moins soucieux de la «foutre» que de la caresser, vénérant une beauté intérieure autant qu'extérieure. Leurs jeux érotiques raffinés sont le fait de partenaires dont la relation repose sur un échange physique et affectif dénué d'agressivité et de violence. Relation bienveillante et délicate où la sensualité l'emporte sur la sexualité. Ainsi la femme est-elle pour l'homme lesbien une merveilleuse complice qu'il aime dans sa différence, mais en égale.

  A la différence des asexuels qui ne ressentent généralement pas de désir physique, l'homme lesbien n'est  pas de bois, loin de là.  Il aime partager l’intimité de la femme. C’est juste qu'il  n’envisage pas l’acte sexuel comme un homme est supposé le faire. Il se met «à sa place» et je pense avant tout à elle. Elle désire une copulation: son sexe est là. Elle veut un rapport sans pénétration: aucun problème.

Il existe une controverse chez les sexologues et les psychologues . Certains trouvent l’adjectif «lesbien» mal à propos et préfèrent parler d’«homme hétérosexuel à sensibilité féminine». D'autres évoquent l’expression «homosexualité inverse»,  Elle décrit le comportement d’un hétérosexuel qui, tout en assumant sa virilité, présente une psychologie féminine et recherche des traits de personnalité masculins chez une femme à l’apparence très féminine.

Je reconnais que je peux bien me reconnaître dans un partie de ce concept . Pour autant cela ne m'empêche pas de me comporter en mâle dominateur mais c'est vrai que c'est plus par jeu dans le cadre du bdsm que dans le cadre d'un comportement naturel . Ceci dit beaucoup d'hommes gauchers ( je le suis ) doivent se reconnaître ici . question d'organisation du cerveau . ceci dit dans le cadre de l'évolution de l'espèce ce qui serait intéressant ce serait d'étudier l'évolution de la proportion de cette typologie d'hommes aux cours des âges et surtout des dernières décennies

L'homme lesbien . Essai sur un comportement affectif et sexuel méconnu

Editions JP ROCHER collection les fruits défendus

En Afrique il existe une racine d'un arbre fruitier   qui aurait pour effets de resserrer le vagin et d'augmenter le plaisir . Les femmes s'en  font des cure dents . Les hommes eux en Cote d'ivoire par exemple se tournent vers le cure dents des Gouros ( une tribu locale ) mais ont dit que l'abus est dangereux car il peut provoquer  des crises de priapisme très douloureuses avec des risques de lésions irréversibles... tout du moins si vous ne vous faites pas refiler un faux cure dent gouros, car ce serait surtout ceux là qui seraient en vente . Dans un cas comme dans l'autre je n'ai pas le nom des arbres .

Le samedi matin j'écoute sur France inter  Alain Barraton le jardinier de Versailles .Il est bio , il aime les plantes et il aime les femmes ( il est l'auteur d'un livressur les histoires coquines de Versailles: " l'amour à Versailles " ) . Et ce matin , il m'a encore appris quelque chose . L'origine du mot "jardiner" est récente en tout cas dans sa signification actuelle. Bien plus récente que le mot jardin qui viens de persan et probablement plus anciennement du sanscrit. . ainsi selon Alain Barraton , au moyen age le verbe jardiner signifiait s'occuper de la femme du voisin . D'ailleurs en argot jardiner les salades du voisin signifiait encore il y a peu fouiller dans les histoires des autres . C'est vrai que le jardinier fouille et que la terre est de l'ordre du féminin .La terre- mère . C'est si vrai d'ailleurs que la fréquence de la terre ( 7, 83 Hertz- résonance de Schumann) est la fréquence de Résonance de l'Hypothalamus et l'unique fréquence commune à tout les mammifères dont nous sommes...mais c'est un autre sujet sur lequel je reviendrai...

Les feuilles du Citropsis ont des vertus aphrodisiaques très réputées qui sont la cause de son malheur. En effet, les utilisateurs de feuilles de Citropsis déracinent les arbres et ne replantent rien à la place, bien entendu. Les racines du "citropsis articulata", utilisées en décoction, sont efficaces "en trois heures", a expliqué à l'AFP Kasozi Bruham, un paysan de 49 ans et consommateur régulier qui vit près de la réserve de Mabira, à 50 km à l'est de Kampala. Cette région abrite l'une des dernières forêts tropicales humides d'Ouganda. "Nous sommes inquiets de la raréfication du citropsis; il y a un gros problème d'impuissance ici et les gens vont devoir se priver pour acheter un médicament équivalent" regrette-t-il. le Citropsis "pouvait soigner 65 maladies".

Le gouvernement ougandais avait envisagé de transformer un quart de la forêt en plantation de canne à sucre. Heureusement, le projet a été retiré après de vives protestations. Les menaces planant sur l'"arbre à sexe", le Prunier africain ainsi que sur toutes les plantes médicinales soulignent la difficulté de la conservation des espèces en Ouganda, qui abrite une richesse unique de plus de 1.100 espèces. 80% de la population ougandaise depend entierement des plantes pour se soigner . On trouve d'autre variétés de Citropsis au Zimbabwe (Citropsis daweana) ou en Angola ( citropsis angolensis) mais elles ne semblent pas etre dotées des mêmes pouvoirsPuisqu'il disparait en Ouganda , faudrait-il qu'un horticulteur sensuel le redecouvre et l'adapte à nos interieurs pour le sauver . A moins qu'un ethno-pharmacien le mette à la mode comme cela a été le cas pour l'huile d'argan sauvant ainsi la forêt d'arganiers du sud marocain.

Quelques clichés réalisés lors de la dernière escapade d'un couple que j'ai déjà reçu et qui souhaite revenir en juin pour un des massages sensuels dont j'ai le secret . En m'envoyant ces photos printanières pour publication , le mari m'écrit qu'il "organise cette récréation pour son paisir physique mais aussi psychique. Cet aspect cérébral est aussi mon plaisir... Bien qu'elle n'oserait sans doute pas se lancer seule dans de tels jeux,  elle  se trouve satisfaite d'une sorte de rôle de soumise lorsque j'en suis l'instigateur..."

N'en déplaise à sa forme  et à la texture de sa peau aussi douce que la peau d'un gland  de sexe humain , l'aubergine n'est pas un légume aphrodisiaque . Ici c'est la recette (trouvée sur un blog ) qui l'est , de même que les illustrations de Charnelle . Jugez plutôt :

“Prenez quelques belles aubergines, brillantes, bien en chair, la peau tendue, couchées dans le lit dune cocotte (en fonte). Dès qu’une douce chaleur les envahit, elles s’alanguissent, s’offrent. Le poivron, aux aguets, approche, constate leur disponibilité, et sans même demander leur approbation, se glisse sur elles. L’aubergine n’est pas raciste, rouges, verts ou jaunes, elle les accepte tous, dès l’instant où ils sont déshabillés, épépinés. Séduit, le poivron fond.

La courgette, pudique mais excitée elle se tripote le pédoncule depuis un moment - attend les premiers signes de fatigue pour s’introduire auprès d’eux et ranimer les ardeurs. Impatiente elle n’a pas l’air comme ça la courgette - elle enjambe la cocotte et très vite se mélange, une main sur l’aubergine, la bouche sur le poivron. Elle est disponible, elle en veut, elle en a, partout et sauvagement.

La tomate, grande prêtresse des mélanges, attend le moment propice. Les soupirs de l’aubergine, les gémissements de la courgette, la fougue du poivron la mettent au comble de l’excitation. Elle veut du plaisir. Sans tarder, elle pénètre dans la débauche des parfums déjà mêlés, embrasse, étreint, ranime et se laisse enfin prendre par toutes les turgescences. Les odeurs s’unissent, les jus se mélangent. L’orgie est à son comble.

L’ail a peur de ne pas en être, il se déshabille rapidement, enlève sa pelure et la gousse gonflée se précipite dans la bacchanale et apporte sa note d’originalité.

Le laurier qui aime tout le monde et que tout le monde aime, sait se montrer indispensable, posant sa feuille de l’un à lautre. Il se fait léger, superficiel, volatile, attentif à ne pas gâcher par son amertume la suavité de ces ébats incestueux.

Le thym, fébrile, ne veut pas être en reste, il se précipite, impatient de se répandre au milieu de toutes ces fragrances.

Quand tous les participants commencent à se fatiguer, certains même à s’effondrer, le piment fait son apparition, triomphant, volant comme un oiseau au secours des défaillances des uns et des autres, exaltant par son énergie les plus indolents.

En langage légume , cela s’appelle faire une ratatouille !!!!”

La peau de cette belle et inoffensive cousine de la mandragore a des propriétés antioxydantes

pour lutter contre les radicaux libres et le cancer et favoriser le rajeunissement.

Donc ne les épluchez pas et choisissez les variétés les plus foncées (Black magic ),

les plus riches en anthocyanines