méditation sur le masque de l'amour ! Quand êtes vous réel (le) ? avec ou sans masque
Votre âme est un paysage choisi
Que vont charmant masques et bergamasques
Jouant du luth et dansant et quasi
Tristes sous leurs déguisements fantasques.
Tout en chantant sur le mode mineur
L’amour vainqueur et la vie opportune
Ils n’ont pas l’air de croire à leur bonheur
Et leur chanson se mêle au clair de lune,
Au calme clair de lune triste et beau,
Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres
Et sangloter d’extase les jets d’eau,
Les grands jets d’eau sveltes parmi les marbres.
Une façon propre à Verlaine d'éclairer les êtres, que l'on discerne mal dans l'obscurité mais je dirai tout autant en plein jour. L'illusion de la joie et de la fête et la tristesse sous jacente, condition de l'âme humaine en pénitence
Avec Charnelle ce samedi de Saint Valentin nous avons ressortis les masques, l'occasion de revoir les photos que nous avions fait sur le même sujet en liquant sur 2007
Publié dans : Charnelle - Voir les 4 commentaires - Communauté : les amis du journal des blogs



Dans la symbolique sexuelle la caverne est
synonyme de mère, de femme, d’organes génitaux féminins ; il y a opposition entre l’obscurité, l’intérieur et le visage animal de la mère d’un côté et la lumière, l’extérieur et le paysage
végétal du père de l’autre, paysage toujours absent des représentations paléolithiques. La grotte préhistorique est la caverne du mythe, le mythe de l’origine étant l’origine du mythe [cf.
Lévi-Strauss] : c’est un sanctuaire.


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