MASSAGES HOT: ALCHIMIE DU SEXE ET DE L'AMOUR
Les orteils sont une zone érogène peut fréquentée sauf par les fétichistes des pieds, pourtant il existe des femmes qui ont connu l'orgasme rien que par la stimulation du gros orteil . Le pied au contact du sol est souvent percu comme impur est n'est pas en odeur de sainteté . Certaines n'aiment pas trop qu'on y touche sans provoquer une réaction hilarante .
D'un point de vue psycho-corporel les orteils sont les sièges symbolique de la frustration sexuelle selon Joseph Messinger ( Ces gestes qui vous trahissent ) . Selon lui les ongles incarnés sont un véritable aveu de frustration sexuelle et plus qu'une visite chez le podologue c'est une révolution mentale qui arrangera les choses sur le long terme . Toujours selon cet auteur les femmes qui en ôtant leurs chaussures font des pointes avec leurs orteils affichent ainsi inconsciemment un signe de soumission et celles qui ne peignent que les ongles orteils affichent un besoin de volupté et de sieste améliorée dés que l'occasion se présente . C'est vrai que c'est plus discret qu'un tee shirt qui affiche avec provocation sa disponibilité sexuelle de manière très ouverte , ce qui n'est souvent jamais rien d'autre ... qu'une provocation .Donc un conseil , plutôt que d'essayer de voir si la dame ne porte pas de culotte sous sa jupette presque transparente- ce qui peut être très trompeur avec les strings .... regardez donc les orteils
Et pour ceux qui ne connaissent que le gros et le petit orteil sachez qu'ils se nomment hallux, secundus, tertius, quartus et quintus.
Un petit livre à lire sur l'érotisme des orteils Pénis d'Orteil. de Rieko Matsuura qui y conte l'anecdote invraisemblable dans un univers humain très réaliste, d'une japonaise ordinaire, qui se retrouve un matin pourvue au pied droit d'un pénis en lieu et place de son gros orteil. Hormis quelques différences anatomiques, du vit masculin, ce pouce en a la sensibilité puisqu'il suffit de l'effleurer parfois pour qu'il double de volume et se dresse en une érection impressionnante.
Malgré elle, car la raisonnable Kazumi ne veut d'abord pas entendre parler d'aucune perversité tant elle se définie par sa normalité, son organe la force à des ouvertures qui lui relèvent progressivement une bi-sexualité sans doute toujours latente. Rejetée par son premier amant, elle partage bientôt ses émois entre un musicien aveugle, adepte de la "fraternisation de peau", le "skinship" consistant pour lui à partager des caresses avec quiconque le lui demande, et la gracieuse Eiko.
Avec cette dernière, Kazumi savoure enfin sa sensibilité aux femmes, tout comme un fétichisme latent, tant pour la main gracieuse qui fait d'amour mourir son vit d'orteil, que pour l'ongle déformé du petit doigt de pied de son amante, qui la fait fondre de tendresse.
«L'amour comme dérobade, l'étreinte comme ultime argument, la jouissance en points de suspension.» Amin Maalouf
envie de prendre mon pied