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"Chaque homme dans sa nuit s'en va vers sa lumiére "  Je songe à nouveau à cette citation de Victor Hugo ce soir en pensant à celles  qui m'ont croisé et dont je sais qu'elles souffrent et pour lesquelles j'ai été un temps une aire de repos sur l'autoroute de leur vie et tout particuliérement une femme à qui j'ai fait decouvrir les poemes illuminés de Saint Jean de la Croix  chantés en espagnol et avec laquelle je faisais l'amour dans une fusion toute tantrique sur les chants du lumineux lama tibétain Lama Gurjmé . En cette epoque ou le manque de lumiére fait que le taux de suicides sous les rames du métro est le plus élévé  et que la noirceur envahie les jours comme les âmes , je dédie mon théme de lumière pour leurs bien être . Je voudrai leur redire cette phrase " Même lorsque les nuages noirs  assombrissent tes jours accroches toi à leurs bordures d'argent" .Même si le temps nous a éloigné je voudrai leur dire ma foi en la lumiére , leur transmettre ma maniére de la capter  au quotidien
Les bordures d'argent des nuages noirs transforment la pluie en gouttes de diamants.
Parmi tous mes moyens de capter la lumière au quotidien , même si je vis la plupart de mes jours dans une grotte , je vous livre aujourd'hui une recette qui illuminera vos âmes et irradiera vos mains comme votre regard : regardez droit dans les yeux le soleil du matin , laissez le vous envahir puis en fermant un instant les yeux visualisez le  comme une boule entre les deux yeux . Un phénoméne phosphénique fait que c'est beaucoup plus simple qu'il n'y parait . Cela activera par le chakra sur 3 eme oeil une diffusion lumineuse vers les autres .Portez alors votre main  la paume vers le ciel au niveau du plexus solaire pour percevoir le flux  et soutenez le pour le faire remonter vers le chakra du coeur : alors vous aimerez le monde immensement !!

Pour vous encore cet autre phrase de Victor Hugo  avant l'hymne d'Akenaton à Aton , là bas au milieu du  Nil  en le traversant, face à une ile de roseaux baignée de reflets dans les remous du courrant , le soleil à inondé ma nuit



« Et dans la tempête et le bruit, la clarté reparaît grandie... » Victor Hugo

« Tu apparais resplendissant à l’horizon du ciel, Disque vivant qui as inauguré la vie ! Sitôt tu es levé à l’horizon oriental, Que tu emplis chaque contrée de ta perfection. Tu es beau, grand, brillant, élevé au-dessus de tout l’univers. Tes rayons entourent les pays jusqu’à l’extrémité de tout ce que tu as créé. C’est parce que tu es toi que tu les as conquis jusqu’à leurs extrémités, Et tu les lies pour ton fils que tu aimes. Si éloigné sois-tu, tes rayons touchent la terre. Tu es devant nos yeux mais ta marche demeure inconnue.   Lorsque tu te couches à l’horizon occidental, L’univers est plongé dans les ténèbres et comme mort. Les hommes dorment dans leurs demeures, la tête enveloppée, Et aucun d’eux ne peut voir son frère. Volerait-on tous leurs biens qu’ils ont à leur chevet, Qu’ils ne s’en apercevraient pas ! Tous les lions sont sortis de leurs antres, Et tous les reptiles mordent. Ce sont les ténèbres d’un four et le monde gît dans le silence, C’est que leur créateur repose dans son horizon.   Mais à l’aube, dès que tu es levé à l’horizon, Tu chasses les ténèbres et tu dardes tes rayons. Alors le Double-Pays est en fête, L’humanité est éveillée et debout sur ses pieds ; C’est toi qui les as fait lever ! Sitôt leur corps purifié, ils prennent leurs vêtements Et leurs bras sont en adoration à ton lever. L’univers entier se livre à son travail.   (...) Variante : A l’aube lorsque tu te lèves à l’horizon Par tes rayons tu chasses l’obscurité. Arbres et plantes fleurissent Les oiseaux s’envolent de leurs nids Les poissons dans la rivière sautent devant tes bras Les poussins sortent de leur coquille pour te parler   Ô Dieu Unique, semblable à nul autre, Seul, Tu as créé le monde selon ton désir Et tu donnes à chaque homme le nécessaire, Tu calcules le temps de chaque vie Et tu as créé les hommes différents Par leur nature et leur couleur de peau. Tu a mis chaque homme à sa place et tu as pourvu à son nécessaire. Chacun possède de quoi manger et le temps de sa vie est compté. Les langues sont variées dans leurs expressions ; Leurs caractères comme leurs couleurs sont distincts, Puisque tu as distingué les étrangers. Tu crées le Nil dans le monde inférieur Et tu le fais venir à ta volonté pour faire vivre les Egyptiens, Comme tu les as créés pour toi, Toi, leur Seigneur à tous, qui prends tant de peine avec eux ! Seigneur de l’univers entier, qui te lèves pour lui, Disque du jour au prodigieux pouvoir ! Tout pays étranger, si loin soit-il, tu le fais vivre aussi : Tu as placé un Nil dans le ciel qui descend pour eux ; Il forme les courants d’eau sur les montagnes comme la mer très verte, Pour arroser leurs champs et leurs territoires. Qu’ils sont efficients tes desseins, Seigneur de l’éternité ! Un Nil dans le ciel, c’est le don que tu as fait aux étrangers Et à toute bête des montagnes qui marche sur ses pattes, Tout comme le Nil qui vient du monde inférieur pour le Pays-Aimé.   (...) Variante : Ô Seigneur d’éternité ! Tes rayons allaitent chaque prairie Tu as fait des millions de formes de toi-même   Tu es " Aton, lumière du jour " sur la Terre Tu as rempli mon coeur en lui donnant La connaissance de ton savoir et de ta force.   Dès ton lever, tu fais croître (toute chose pour) le roi Et la hâte s’empare de toute jambe Depuis que tu as organisé l’univers, Et que tu les as fait surgir Pour ton fils, sorti de ta personne, le roi de Haute et Basse-Egypte, vivant de vérité, le Seigneur du Double-Pays, Néferkhéperoure-Ouaenre, Fils de Ra, vivant de vérité, Seigneur des Couronnes, Akhenaton, Que la durée de sa vie soit grande ! Et sa grande épouse qu’il aime, La dame du Double-Pays, Néfernéferouaton-Néfertiti, Puisse-t-elle vivre et rajeunir à jamais, éternellement !
Akhenaton  1353 à 1337 av. J.C.
Mer 27 déc 2006 Aucun commentaire