MASSAGES HOT: ALCHIMIE DU SEXE ET DE L'AMOUR
Charnelle m'a indiqué qu'elle avait vu une information à la télévision à propos d'une étude qui tendrait a prouver que le point G n'existe pas . Sa première
réaction étant d'ailleurs que les auteurs de l'étude ne devaient pas me connaître . Je me suis donc informé sur cette étude . Une équipe du King’s Collège de Londres composée de Tim Spector
(professeur d’épidémiologie génétique) et Andrea Burri (psychologue bernoise) a livré le résultat de “la plus grosse recherche jamais menée au monde sur le point G” ,( comme quoi
grosse ne rime pas avec qualité , une grosse connerie , même grosse reste une connerie et j'emploie le mot a dessein ) . Leur conclusion “le point G est une donnée totalement
subjective”, une sorte d'illusion , les femmes qui prétendent en avoir un auraient beaucoup d’imagination.Dans ce cas je voudrai bien savoir ce qui se passe dans la tête de celles qui n'y
croient pas et a qui je le fais découvrir par mes massages , ou je suis un illusionniste . Andrea Burri a même accusé les sexologues d’avoir inventé cette zone érogène, rendant ainsi folles
d’inquiétude les malheureuses qui n’auraient pas trouvé leur point G. Au passage je rappellerai que ce n'est pas du tout les sexologues qui ont inventé cette notion même si Graffenberg lui a
donné son nom et qu'une sexologue américaine l'a popularisé. Si les scientifiques occidentaux était un petit moins nombrilistes ils se rendraient vite compte en s'ouvrant à d'autres cultures que
ce point était mentionné 2000 ans avant JC en Inde . Quant aux fait que de nombreuses femmes ne l'ont pas découvert, je ne pensent pas que cela les rendent " folles d'inquiétude" . Il
y a des tas de gens qui n'ont jamais stimulé leur cerveau et que cela n'empêche pas de vivre et encore faut il stimuler correctement , n'est ce pas professeur Spector.Pour l'un comme pour l'autre
ce n'est pas un demarrage automatique .
Pour les besoins de cette étude, 1804 femmes âgées de 23 à 83 ans ont rempli des questionnaires. A 23 ans c'est normal de ne pas l'avoir découvert , la plupart des femmes mettent un certain temps a le découvrir et si on l'a pas découvert à 83 ans cela ne veut pas dire qu'il n'existe pas - je veux bien rencontrer les jumelles de 83 ans pour voir si je peux faire quelque chose pour elles . Car il s’agissait uniquement de jumelles (hétérosexuelles, curieusement , quoique je me demande comment ils ont pu découvrir 902 paires de jumelles qui ne se seraient jamais touchées histoire de se découvrir...). Partant du principe que les jumelles ont le même ADN, les deux chercheurs se sont efforcés de montrer qu’il n’était pas normal que certaines femmes aient un point G et pas leur sœur… Sur le plan génétique, il est “impossible” (ont-ils expliqué) qu’une jumelle présente une caractéristique physiologique et pas l’autre. “Si le point G existait, les jumelles en auraient chacune un, n’est-ce pas?”. “Faux” rétorquent d’autres médecins: «Les jumelles n’ont généralement pas le même partenaire sexuel.» La sexologue Beverly Whipple, qui avait popularisé l’existence du point G en 1981, a notamment dénigré l’étude: “On ne naît pas avec un point G, on le trouve.” Tout comme l’orgasme, le plaisir procuré par le point G est le fruit d’un entraînement, d’un progressif apprivoisement du corps ... Donc chers professeurs du King's College plutôt que d'interroger 1804 femmes mieux aurait il fallu appuyer 1804 fois sur une seule et Ici ( voir image ci dessous )
Pour les besoins de cette étude, 1804 femmes âgées de 23 à 83 ans ont rempli des questionnaires. A 23 ans c'est normal de ne pas l'avoir découvert , la plupart des femmes mettent un certain temps a le découvrir et si on l'a pas découvert à 83 ans cela ne veut pas dire qu'il n'existe pas - je veux bien rencontrer les jumelles de 83 ans pour voir si je peux faire quelque chose pour elles . Car il s’agissait uniquement de jumelles (hétérosexuelles, curieusement , quoique je me demande comment ils ont pu découvrir 902 paires de jumelles qui ne se seraient jamais touchées histoire de se découvrir...). Partant du principe que les jumelles ont le même ADN, les deux chercheurs se sont efforcés de montrer qu’il n’était pas normal que certaines femmes aient un point G et pas leur sœur… Sur le plan génétique, il est “impossible” (ont-ils expliqué) qu’une jumelle présente une caractéristique physiologique et pas l’autre. “Si le point G existait, les jumelles en auraient chacune un, n’est-ce pas?”. “Faux” rétorquent d’autres médecins: «Les jumelles n’ont généralement pas le même partenaire sexuel.» La sexologue Beverly Whipple, qui avait popularisé l’existence du point G en 1981, a notamment dénigré l’étude: “On ne naît pas avec un point G, on le trouve.” Tout comme l’orgasme, le plaisir procuré par le point G est le fruit d’un entraînement, d’un progressif apprivoisement du corps ... Donc chers professeurs du King's College plutôt que d'interroger 1804 femmes mieux aurait il fallu appuyer 1804 fois sur une seule et Ici ( voir image ci dessous )
Dim 10 jan 2010
4 commentaires
Donc ca prouve que les anglaises n'ont pas de point G
eric - le 10/01/2010 à 17h06
Ces scientifiques sont évidemment frigides, mais ça, ce n'était pas dans leur enquête. Il faudra qu'ils expliquent néanmoins comment une femme se tortille 3 fois plus quand on lui titille, même
quand elle ne la pas encore découvert. Il va falloir que tu passes chez Ruquier toi aussi pour faire une démontration !!!!
charnelle - le 10/01/2010 à 18h17
cher pierre , ça prouve seulement que très peu d'hommes ont ton doigté et ta patience ! plutot triste ! non?
annick - le 11/01/2010 à 00h08
Cher Pierre, Je rejoins le commentaire d'Annick. Le point G est une grande jouissance et un immense plaisir pour celle qui, grâce à ton doigté magique le découvre. Quelle tristesse ces pauvres
scientifiques ! il serait nécessaire, comme le dit Charnelle qu'ils te rencontrent
Calicha - le 24/01/2010 à 12h45