MASSAGES HOT: ALCHIMIE DU SEXE ET DE L'AMOUR

Voilà une photo d'une femme du sud de la France qui m'envoit cette photo comme une promesse de venir me rencontrer pour venir prendre ici un plaisir dont elle est à la recherche depuis longtemps, mais au delà de cela la réalisation d'un voeux dont je serai l'alchimiste mais pas nécessairement le bénéficiaire, comme un message à decripter au fond d'elle même , enfermé dans une bouteille secréte .

  Si chaque femme évoque pour moi une image , je sais ce que les miennes leur procurent,  à l'image de ce message recu hier  d'une autre femme qui m'évoque  quant à elle , l'Italie du 16eme siecle et Michel Ange par le pseudo qu'elle s'est donnée  et qui m'écrit en précisant par ailleurs qu'elle n'est pas libertine  "Je viens de découvrir votre blog...Je suis particuliérement transportée de plaisir d'avoir découvert qu'un homme puisse accomplir, avec une telle justesse, les rêves inavouées des femmes .Je voudrais simplement vous dire que j'éprouve une véritable émotion profonde à la vue de ces magnifiques photos de femmes abandonnées à vos mains si expertes...sans rien devoir vous donner en retour ! "

Pour en revenir à cette photo: elle me fait penser à une odalisque, l'aurait elle été dans une vie antérieure, aurait elle été une des favorites de mon harem ? . L'odalisque était une femme vivant dans un harem. Elle constitue un modèle favori des tableaux orientalistes de l'époque romantique

Les Odalisques sont généralement des prétextes à des débauches de tons éclatants d'un luxe inouï qui constituent surtout des spectacles décoratifs. Une des derniére odalisque de la peinture française fut peut etre celle de Matisse  relèvant  certains souvenirs baudelairiens avec une odalisque qui " repose en sultane", dans sa "splendeur orientale", " parée de bijoux sonores" sur l'un de ces fameux "lits pleins d'odeurs légères " ou sur quelque "divan profond", et près "d'étranges fleurs sur des étagères ". En revanche, le personnage n'est jamais touché par le "goût du néant" familier à Baudelaire il chante plutôt le célèbre Bonheur de vivre qu'exalte Matisse. Volupté de la forme, élégance de la ligne, enivrement de la couleur... Il faut regarder de tous ses yeux, se laisser prendre... L'odalisque d'Ingres : La Grande Odalisque, de dos accoudée sur son bras  et tenant son mollet gauche de sa main droite évoque l’attente de l’amour. Mise en scène  minutieusement préparée , arabesque délicate du corps, accessoire orientalisant . C'est peut être cela aussi qui me faire le lien.Ô...Ode... Odalisque ...obélisque...pyramidon ...

Pour moi les odalisques sont également associées  à ces petites bouteilles d'essences et de parfums, condensé d'effluves et de secrets ,  que l'on trouve uniquement en Egypte , terre de naissance de l'alchimie ou l'on transforme pour  l'essence de chaque être le plomb en or

Ven 11 aoû 2006 2 commentaires

je suis bien heureux d\'avoir soufflé cet odalisque en tapant si juste avec mes mots . Elle ne s\\\'y attendait pas . C\\\'est mon coté magique. Je sais qu\\\'avant que mes mains touchent son corps j\\\'ai conquis son esprit et que donc ne n\\\'est plus un inconnu a qui il permettra de toucher son corps , meme si elle n\\\'etait pas libertine je fais désormais partie de son intimité


je suis sur que le feu du desir du contact va couver pendant mon absence

masseursensuel - le 11/08/2006 à 21h25

Cette photo appelle quelques images, son flou  fait effectivement immédiatement penser à une peinture, mais comme si le pinceau d\\\'un orientaliste avait croisé celui d\\\'un impressionniste pour y rajouter un "sfumato" de la renaissance...comme si ce corps avait pu être le modèle des modèles traversant les siècles.....Puis l\\\'oeil s\\\'arrete sur les ambiguites: Ce filet qui couvre un sein sans cacher l\\\'autre, ces mains qu\\\'on peut voir tantot protégeant l\\\'initimité tantot actrices d\\\'une sensualité singulièreet peut être meme préparant le corp a sa possession totale... comme si ce corps pouvait être celui du désir des désirs traversant les siècles, celui de  LA femme...   

Paul Grange - le 16/08/2006 à 09h52