MASSAGES HOT: ALCHIMIE DU SEXE ET DE L'AMOUR
le dernier commentaire du jour me dit ne pas trouver les photos de fist" choquant bien au contraire. j'aimerai pouvoir partager et faire partager ce genre d'expérience" et réclame des photos concernant la préparation de la voie arriére. En voila une . Il est clair que le massage et la préparation de cette voie est délicat notemment chez les débutantes à la fois pour des raisons psychologiques et physiologiques. Pourtant il est clair également que cela fait partie des fantasmes et participe à l'excitation d'un tres grand nombre qui y trouvent beaucoup de plaisir une fois les appréhensions dépassées . En cela le massage du corps en entier et de la zone peri anale en particulier ainsi que la mise en confiance sont essentiels pour obtenir une détente tant physiologique que psychologique . Aucun danger tant que vous ne depassez les limites de la personnes sur ces deux points . Une simple sodomie à froid de sa partenaire en n'écoutant que son plaisir sans être à l'écoute de l'acceptation tant mentale que corporelle de l'autre est en cela beaucoup plus violent et traumatisant qu'un fist anal au deux niveaux précités. Si vous savez surfer sur ces deux vagues sans prendre de risques pour l'autre la dilatation se fera en douceur et les muscles autoriseront beaucoup plus que ce que vous pouvez imaginer. Chacun ses limites , la violence n'existe que dans le non respect de l'autre et l'exacerbation de son propre ego et désir.
De ce point de vue si Charnelle accepte à ce niveau bien davantage que Marie cela est avant tout lié à ses dispositions psychologiques à mon egard et a un niveau d'acceptation et de confiance plus élévé qu'a des considérations anatomiques . L'esprit précéde la chaire .
Mon premier commentaire ne serait pas complet si je ne parlais pas du plaisir que me procure cette technique. Hors du fist, le plaisir anal n'est pas négligeable, il faut laisser tomber tous les préjugés, les angoisses qu'on puisse trouver des "traces"...pour vraiment l'apprécier. Une fois tous ces tabous tombés, on peut enfin se concentrer sur le plaisir et seulement celui-ci. Le définir est difficile, comme il est difficile de définir un orgasme, pour ma part, il est totalement différent des autres, un peu inavouable donc difficile à obtenir (ben oui, comme quoi ma pudeur est là) mais quand masseursensuel m'y amène, je n'y suis rarement insensible tout ceci est une question de psychologie avant tout et quand il décide d'éffectuer un fist par là, c'est avant tout le plaisir de la soumission, (et ça c'est déjà un réel plaisir) qui prédomine avant qu'un plaisir physique arrive.
Effectivement, les photos sont superbe. Dommage que la derniere soit moins nette...
Quel immense plaisir ces personnes ont du avoir, surtout la premiere photo, pour que son corps soit si "souple" et que tes doigts puisse ainsi le déformé. Tres beaux, j'en redemande.
Connais tu des site , des blogs qui parle de cette pratique?
"l'esprit precécède la chair "votre façon d'allier pornographie et philosophie est surprenante. je n'avais jamais vu une telle manière d'illuster des concepts
Vrai, c'est une partie du corps "caca", et le caca, beurk, ça pue, c'est sale, l'excrément qui depuis notre plus jeune enfance est banni du toucher, de l'odorat. Touche pas c'est caca entendons dire un peu partout de parents s'adressant à leurs enfants, alors forcément, la pénétration de l'anus par un partenaire, n'est pas acceptation facile.
La sodomie est beaucoup plus courante et acceptée, mais la pénétration de doigts et encore d'une main est psychologiquement plus difficile (enfin pour moi). Alors si masseurhot arrive à me fister entièrement par cette voie, c'est en effet un acte qu'il lui est exclusif, et dont je n'accepterai pas d'autres. Un, parce qu'on ne me fiste pas analement d'un coup de baguette magique, deux, parce qu'il faut une confiance totale, et ça je lui accorde sans restriction, trois, parce que c'est un vrai défi d'y arriver et une grande satisfaction d'avoir su me laisser complétement dominer, c'est une soumission totale pour ma part.