MASSAGES HOT: ALCHIMIE DU SEXE ET DE L'AMOUR

Dans la société hemba, les filles pubères s'appliquent à allonger leurs petites lèvres et à aménager leur conduite vaginale pour se préparer au mariage.

Lorsqu’elles atteignent l’âge de puberté, les jeunes filles hemba s’initient elles-mêmes ou avec le concours de leurs aînées à la vie conjugale. Au nombre des pratiques initiatiques auxquelles elles s’adonnent figurent le « Mbuli-Malebo » ou la pratique d’aménagement des organes sexuels pour qu’ils prêtent à ses différents usages (accouplement, accouchement, …) dès le début du mariage. La pratique a lieu en brousse à l’ombre d’un arbre appelé « Mbuli ». Pour ne pas attirer l’attention d’autres personnes sur ce qu’elles font, les filles s’adonnent à ces exercices au moment où elles vont se promener ou encore lorsqu’elles vont puiser de l’eau à la source . Les filles reconnaissent avoir du plaisir dans cette pratique


Le peuple bahemba, vit entre le fleuve Lualaba et le Lac Tanganyika dans l’actuelle province du Katanga en République démocratique du Congo. Dans cette société, patrilocale, l’initiation de la jeune fille pubère tend à l’aider à reprendre à son compte l’image de la femme adulte, épouse et mère qu’elle voit précisément dans la personne de sa maman.


La pratique du « Mbuli-Malebo » réservée aux seules filles pubères qui se préparent au mariage a lieu en plusieurs séances. Cependant, même si le nombre des séances que la pubère doit suivre n’est pas formellement limité dans le temps, la femme muhemba ne peut pas se marier tant que les séances accomplies n’ont pas encore rendu ses organes génitaux prêts à débuter la vie conjugale comme pleinement une adulte, épouse et mère.

 

L’aménagement des organes sexuels auquel la jeune fille s’adonne se fait essentiellement en deux phases. La première s’appelle « chimbuli » et concerne l’étirement des petites lèvres afin de les allonger. Pour éviter le glissement des doigts au contact de la membrane muqueuse, les filles s’oignent les pouces et les index de la sève de l’arbre « Mbuli », à l’ombre duquel elles sont assises. L’opération consiste à masser les petites lèvres (malebo) en les étirant. Après chaque séance, elles attachent avec des nervures de feuilles de l’arbre « chifumbe » la partie qui a été allongée pour éviter qu’elle se rétracte de nouveau. Les filles pratiquent le « chimbuli » jusqu’à ce qu’elles soient satisfaites des dimensions de leurs « malebo ».


La deuxième phase de l’aménagement des organes génitaux concerne, c’est l’élargissement de l’entrée du vagin. L’objectif est de permettre à celui-ci d’être capable de recevoir n’importe quelle dimension de pénis. L’opération consiste donc à introduire progressivement dans le vagin un corps ayant quelque peu la forme du membre viril. L’exercice commence généralement par les formes de petites dimensions jusqu’à ce que le vagin soit capable de recevoir un corps de dimension virile normale.

Leur vagin étant plus flexible l'accouchement est facilité . 


Cette exercice pourrait être  importé en France pour réduire le trou de la sécurité sociale  en diminuant le nombre des épisiotomies et en diminuant le nombre de consultations de femmes qui vivent mal leur sexualité . Aprés tout nous occidentaux aprés avoir imposé nos valeurs judéo chrétiennes culpabilisantes on leur doit bien çà aux bahembas


Autres particularité érotique des femmes bahembas , les tatouages en reliefs qu'elles nomment ntaho  : des scarifications sur les seins , le pubis , les fesses. En passant ses mains l'homme excite la femme . La réalisation en étant douloureuses certains  les considèrent comme une pratique érotico-masochiste  ancestrale.


Sam 20 oct 2012 Aucun commentaire