MASSAGES HOT: ALCHIMIE DU SEXE ET DE L'AMOUR
Des chercheurs ont étudié l'impact de la musique sur le vivant et sa capacité à le transformer . Ainsi ils ont remarqué que la chanson Aimer dans la comédie musicale Roméo et Juliette ou le Canon de Pachelbel avait un impact sur la fertilité des couples. Si vous voulez en savoir plus sur la musique des proteines je vous invite à lire cet article ,vous y lirez notemment comment on peu inhiber un virus par le son
Cette influence de la musique sur le vivant avait déjà été une révélation pour moi à l'age de 9 ans alors que j'écoutais une émission de radio sur l'impact de la musique sur les plantes . Et comme toujours lorsque quelque chose vous marque si profondement vous revoyez l'image de ce moment tout au long de votre vie comme s'il venait de ce passer et cette seule évocation me replace prés d'un demi siécle en arrière chez mes grands parents en Dordogne, par une matinée de Paques
En fait , les recherches scientifiques modernes ne font que remettre au gout du jour ce que Pythagore enseignait . La musique est un massage sonore . Plus loin de l'Europe les bols chantants tibétains sont un autre exemple de la thérapeutique du son
En utilisant l'ancienne méthode de Pythagore ou la notation de Guy d'Arezzo au Xième siècle , de plus en plus nombreux sont ceux qui s'interessent au solfège sacré et aux effets de ces resonnances sur nos chakras et nos transformations
1. Ut=396 Hz (Ut quent laxis)
2. Re=417 Hz (Resonare fibris)
3. Mi=528 Hz (Mira gestorum)
4. Fa=639 Hz (Famuli tuorum)
5. Sol=741 Hz (Solve polluti)
6. La=852 Hz* (=6) (Labii reatum)
Une rapide recherche sur internet vous révélera la profusion d'information sur la fréquence de l'amour (Mira gestorum 528 hz) et sur celle de la relation à l'autre 639 Hz toutes deux agissant sur le chakra du coeur . Des musiques basées sur ces fréquences et incorporant des sons binauraux sont disponibles . Les associer à un massage sensuel dans le cadre d'une thérapie de couple ou simplement d'un chemin d'expérience à 2 est une idée à laquelle je vous engage pour moins de possession et pour relier le sensuel au sacré sur un chemin alchimique . Pour les musiques incluant des signaux binauraux , l'écoute doit se faire au casque , tant pour la personne massée que pour le masseur en utilisant un démultiplicateur en Y afin d'être en harmonie . L'utilisation d'une "mind machine" peut être un plus pour davantage d'effets de transformation. Ceux qui veulent plus d'information à ce sujet peuvent me contacter voir même en acquérir auprés de moi et apprendre avec moi comment les utiliser pour se transformer
Mais peut être au préalable faut il un travail sur la fréquence 396 hz qui aiderait quant à elle à se liberer de ses peurs et de sa culpabilité
A savoir, de nos jours, les orchestres nationaux et internationaux sont accordés non plus au 440hz mais au 442. Au 19e siècle on était plutôt à 420-430. On peut encore très bien l'entendre sur les pianos de cette époque. Ils ne sonnent définitivement pas pareil à nos oreilles !
Aujourd'hui la norme s'est également imposée au gré de la facture industrielle des instruments. Mais, il reste cependant des sonorités assez différentes entre les facteurs (les marques)... Un Steinway ne se joue pas et ne "sonne" pas de la même façon qu'un Pleyel ou un Schimmel... Et libre à vous de demander à votre accordeur de l'accorder à un La ou à un autre ! (pour ma part, je préfère l'accord à 439Hz qui introduit des couleurs bien plus variées dans les harmonies que le "440")
Sous Mozart, on jouait au 415Hz. Et puis, l'essentiel n'était pas de normer mais de jouer ensemble à peu près juste ! et ce n'était pas autant une affaire de scientifique que de nos jours ! (j'aurais bien aimé demander à Mozart ce qu'il en pense de cette norme, j'entendrais presque qu'il s'adonne à un rire comme dans Amadéus...)
Quant à la "norme", personnellement, suite à mes études, il m'a toujours été très difficile de me fier à la "pureté" d'un diapason. Suffit qu'il fasse froid ou chaud, sec ou humide, qu'il pleuve, qu'il neige, que le temps soit orageux, etc mes instruments en bois n'ont jamais "joué" pareil.
Si vous allez à des concerts, vous pouvez remarquer que tous les instrumentistes pros ou amateurs -sauf les pianistes, éternels frustrés de l'accord car leur instrument est totalement faux par essence- sont toujours en train de bidouiller tout au long d'un concert.
Quant à la musique des sphères, on résonne tous d'une tonalité particulière, qui nous est propre et évolue tout au long de notre vie. On a tous besoin de telle ou telle musique plutôt qu'une autre à un moment. De se sentir pousser des ailes avec le Carmina de Carl Orff, de se sentir cajoler avec un Adagio de Barber, de se calmer un Va Pensiero de Verdi. L'éthos des mode musicaux des Grecs Anciens n'est pas si loin de nous !
Pierre, vous soulevez également un autre problème sociétal par cet article.. Il y a une perte constante de la sensibilité auditive de l'espèce humaine. Ainsi les aïgus et les graves sont de plus en plus raccourcis. La merde commerciale diffusée constamment partout nous rend sourds et réduit notre capacité à entendre et... à chanter. Il semblerait que plus que de fabriquer des sourds-dingues la société fabrique aussi des "handicapés de la glotte"...
Désolée si je heurte certains lecteurs par mes propos, il n'y a qu'à entendre les "chanteurs" et la variétoche actuelle tout ne tourne qu'autour de deux notes, deux accords tout au plus couverts par du... bruit (que d'aucun appelle rythme !)
Ecouter ses propres cellules intimement (solo, a due ossia a quatro mani), c'est accepter qu'elles vous conduisent à votre musique du moment à celle de l'autre et... sur les chemins de la découverte de l'extase auditif et/ou... sexuel ! ;-)
Bon week end !
Je me permets de lancer un 2d commentaire à votre article.
Il y a un éthos des modes musicaux, d'une part qui ont grande influence sur notre "éther" mais le mode -l'organisation de la gamme (tons, demi-tons) mélodie, accords : bref, toute une langue musicale par tonalité (ou modalité) - mais il existe une autre "modalité" également très "modulative d'humeur", l'organisation du rythme qui influent, influencent tout autant que l'empreinte hertzienne des sons.
Je pense que les sons ne sont rien sans rythme et vice-et-versa. On peut prendre un mode dorien et en faire autant une chanson triste qu'une autre mélopée suivant le rythme sur lequel est bâti le chant. Et ce rythme a aussi énormément évolué au fil des siècles, celui du temps de Guido d'Arezzo est bien différent de celui d'un Josquin des Prez, puis d'un Palestrina et on pourrait s'amuser à effectuer la même comparaison avec les musique profanes pour toutes les périodes jusqu'à notre époque !
Successions de longua et brevis, qu'ils s'appellent iambe, datyle, trochée, etc... (cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Fambe) ils composent la métrique de la phrase tant théâtrale que de tous les jours et, de fait, musicale... Telle musique militaire galvanise les foules (ex les musiques militaires), telle autre calme (rythme des berceuses), telle autre dynamise (ex les folia), etc.
Enfin, vais peut-être m'arrêter de crainte d'être imbuvable ce qui n'était pas le postulat de base de l'article de Pierre...
Ces fréquences anciennes renaissent aprés leur disparition.. Malheureusement depuis la deuxième guerre mondiale tous les instruments de musique sont reglés sur un LA a 440 hz . On le doit aux nazis et au Dr Goebbels himself, le but étant de favoriser un conditionnement de masse . On peut se demander pourquoi aprés la libération cette norme est devenu une norme internationale . Peut être que cela arrangeait les pseudos démocraties de controler leurs masses poupulaires de manière plus subtile . Donc pour favoriser les libérations et l'ouverture du coeur preférez les musiques dont le La vibre a 432 hz